Vol MH370 pour Pékin
Depuis une semaine, vous avez sans doute vécu la même chose…
«On» vous parle de l’incroyable disparition du Boeing de la Malaysia Airlines et «on» fait mention de l’album Vol 714 pour Sydney dans lequel Tintin vit «quasiment» la même chose.
Cela m’est arrivé déjà 4 fois, occasion de partager avec vous une thèse entendue une seule fois et dont l’originalité m’interpelle.
Et si (Cette entame est désormais coutumière pour parler du plus grand mystère de l’aviation moderne), les pilotes aux commandes de l’avion après leur soudaine manœuvre de disparition des écrans radar s’étaient finalement placés dans le sillage d’un autre appareil afin de ne produire qu’un seul écho ?
C’est un ancien pilote à qui un journaliste demandait comment faire pour voler pendant des heures sans se faire repérer qui a émis cette thèse. Elle est restée dans un coin de ma tête (Entre nous, je m’interroge depuis des années afin de comprendre comment un contenu sphérique peut avoir des coins ?!) et s’est trouvée doucement mais sûrement rappelée au premier plan avec les jours qui passent, les avions de recherche qui volent, les experts qui discourent, les médias qui crépitent, les familles qui espèrent, les débris qui surgissent avant d’être recalés et surtout ce mystère qui s’épaissit.
« Le plus grand mystère de l’aviation moderne«
N’étant pas encore prêt à avoir recours aux extraterrestres, Hergé doit m’en vouloir, j’apporte ma pierre au tumulus qui grandit quotidiennement au gré des théories, news et autres conférences de presse à Kuala Lumpur.
Les personnes friandes de sémantique seront interpellées par l’usage du mot «tumulus», il a été choisi à dessein pour manifester avec retenue mon scepticisme devant la capacité d’un commando à faire s’évaporer un avion entier et ses 239 passagers. Scepticisme mais espoir, ce pourquoi j’aime cette idée du «poisson pilote» qui vient discrètement se blottir dans la trajectoire de son hôte.
«Mille millions de mille sabords», la vérité va bien finir par émerger, non ?
«Émerger» ? Je vous laisse, je ne veux pas que cette histoire tout d’abord inspirée par «Vol 714 pour Sydney» finisse par requérir les services du Professeur Tournesol et de son submersible. Quoique, en y repensant «Rackham le Rouge» a-t-il des liens avec la Chine ?
Bonne journée à tous
P.S : En ces temps «d’uniformisation globale», j’ai le plaisir de vous offrir l’illustration de cette chronique 100% www.e-martin.org puisque de la prise de la photo à la réalisation graphique c’est totalement du «home made»…
