Quelques lignes pour faire écho à la biographie d’Ernest Hemingway qui cause tant de soucis à Patrick Poivre d’Arvor, much ado about nothing ?

Je ne m’autoriserai aucun commentaire sur le fond de l’affaire, n’ayant lu ni le livre prétendument plagié, ni le plagiat, cependant de quoi fait mine de s’étonner le monde littéraire parisien ?

Que des nègres existent ? La belle affaire…

Votre serviteur se souvient avec humour des propositions reçues après la sortie de mon roman « Genia », le tarif était de Frf. 100’000.- et il « suffisait » de laisser la signature à quelque vedette.

Mon égo, sans doute surdimensionné, m’ayant interdit d’abandonner une seule production personnelle, je n’ai pas donné suite mais d’autres par l’odeur alléchés…

L’erreur, aussi bien de l’éditeur que du signataire officiel du manuscrit, a bien entendu consisté à ne pas contrôler l’originalité de l’œuvre mais au temps d’Internet et de Wikipédia qui, à part quelques irréductibles créateurs dont je m’enorgueillis de faire partie, se donne encore la peine d’être 100% original.

Une autre affaire semble d’ailleurs suivre celle d’Hemingway puisqu’une ancienne compagne de PPDA l’accuse d’avoir utilisé ses lettres d’amour dans « Fragments d’une femme perdue », qu’il est difficile d’aimer être aimé.

Je souhaite que le Breton dont il est question dans cette chronique ne coule pas avec « ses » livres et je conclus en remarquant que lorsque « Genia » est sorti, il fut l’un des seuls journalistes à se donner la peine de me remercier de façon manuscrite pour l’envoi de l’ouvrage.

Bonne journée à tous

P.S: Pour les très rares pour lesquels le terme « factotum » resterait un brin obscur, je me permets de leur remémorer qu’il s’agit de la personne qui est en en charge de toutes les tâches d’une maison… d’édition par exemple ?

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