Flocon, vrai difficulté
J’espère que vous me pardonnerez le jeu de mots vacillant du titre qui est certainement dû à un manque de repos dont notre ami à plumes devrait assumer l’entière responsabilité. Car, entre les inscriptions à www.CyberDodo.org qui réclament beaucoup de temps et la préparation du tournoi « Le Message de CyberDodo II » qui commencera ce soit à minuit, ce week-end a d’ores et déjà été fort occupé.
A l’image de ce dimanche toujours plongé dans la nuit mais qui me voit m’activer sur mon clavier depuis plus de 2 heures, rançon quelque part agréable d’un fort développement. Exemples avec la Zambie et la Bolivie, 2 pays qui rejoignent depuis peu en masse notre communauté en ligne.
Revenons à ce flocon qui représenterait une vraie difficulté…
Cela s’est passé hier, je mettais la dernière main aux lettres d’information qui vont accompagner le lancement du tournoi lorsque notre cadet a crié : « Il neige ! ». Me précipitant à la fenêtre, quel spectacle unique (Surtout en Provence) :
Les flocons étaient si gros et tombaient si lentement qu’a surgi alors l’idée, pardon l’IDEE, nous allions photographier un flocon. Ce qui impliquait bien entendu de le saisir pendant sa chute.
Plus facile à imaginer qu’à faire, puisque :
Après de nombreuses tentatives que j’ai décidé de vous épargner, enfin une image « possible » :
Le résultat est loin d’être parfait ou même satisfaisant mais c’est un hommage à cette grâce éphémère que le grand Edmond Rostand avait déjà célébrée dans son merveilleux Cyrano en admirant le dernier vol des feuilles mortes.
« Ephémère », un mot qu’il ne nous faudrait jamais oublier…
Je vous laisse, la maison s’éveille, la tendresse rode et j’ai bien l’intention d’en être la victime la plus consentante d’une journée que je vous souhaite paisible