Disons-le simplement…
Disons-le simplement…
… cela ne va pas très fort. Les lecteurs fidèles de Continuum ont suivi à intervalles plus ou moins réguliers mes diverses péripéties de santé depuis une morsure de tique qui m’a valu, il y a quelques années, une rickettsiose non soignée pendant plus de 18 mois parce que non diagnostiquée.
Une fois celle-ci identifiée, un long traitement antibiotique m’a débarrassé des symptômes pendant environ 1 an mais ceux-ci sont revenus de plus en plus forts, me contraignant à des examens en tout genre qui n’ont rien révélé mais ont exclu qu’il puisse s’agir d’une rechute.
Malgré des séjours à l’hôpital où votre serviteur a été examiné presque sous toutes les coutures (J’y retourne prochainement pour de nouvelles explorations encore plus « profondes »), je me trouve devant une alternative qui serait amusante si elle n’était que jeu de l’esprit :
a- Ce n’est pas grave
Une partie des spécialistes et autres médecins rencontrés m’ont expliqué que si c’était grave, bien que les symptômes soient réels et invalidants, je serais déjà mort donc pas de souci.
b- Il faut donner du temps au temps
Il suffit d’attendre car à ce stade, la maladie n’est pas assez développée pour être identifiée et lorsqu’elle aura gagné en intensité, il sera alors possible de mettre un nom dessus.
Nous ne rêvons pas, après plus d’une dizaine de bilans complets (Très complets même), de multiples consultations auprès de praticiens de diverses spécialités et des mois de crises en tout genre, mon « cas » est confié au temps.
Vu son effet à long terme sur nos carcasses, je m’interroge… et en profite pour vous souhaiter une excellente fin de semaine.