Bravo Michael
Chacun de nous a ou a eu ses matières scolaires ou académiques préférées, «c’est comme ça» nous sommes plus ou moins en harmonie avec l’intégralité du programme.
La faute à notre parcours personnel ou souvent, ne leur en déplaisent, aux professeurs mais le fait est établi, très rares sont ceux qui pourraient affirmer qu’ils étaient ou sont indifférents à la diversité des contenus.
Le projecteur du jour, dirigé sur notre fils aîné, en profite pour éclairer sa constante bête noire : les mathématiques !
Il est loin d’être le seul et fera sans doute partie de la majorité identifiée par les inévitables sondages, les «maths» étant régulièrement la punition de générations d’étudiants. Dans son cas, cela tenait de la position de principe, il n’aimait pas les maths, point.
Cela ne l’a pas empêché d’obtenir son bac avec mention mais toutes les voies académiques qui faisaient la part trop belle à «la» matière étaient écartées d’un revers de main revanchard.
Alors, lorsqu’il a décidé, après 2 années d’activités professionnelles de se mesurer à une Business School internationale réputée, j’avoue que je me suis posé quelques questions sur son face à face futur avec des maths d’un autre niveau que celui qui le hérissait déjà beaucoup pourtant…
Si, depuis Anaxagore et Lavoisier, on sait que «rien ne se perd, rien ne se crée et tout se transforme», la transformation est d’importance puisque Michael, mon compagnon de Compostelle, a obtenu rien de moins qu’un «A», soit la meilleure note possible !
Bravo à toi mon fils !
P.S : Les images du jour, en provenance directe du ciel de Provence, illustrent un des piliers de ma philosophie personnelle : «La tête dans les nuages et les pieds bien à plat sur le sol».
Bon dimanche à tous