2012, année de mer.. !
J’espère que cela n’a pas été pareil pour vous mais de mon côté, je crois avoir rencontré tous les parasites, toutes les ordures, tout ce que la Terre porte de contre-exemples à l’humanité en cette très médiocre année 2012.
Ne comprenez pas que je n’y ai fait que de mauvaises rencontres ou que toutes les personnes avec lesquelles j’ai interagi émargeaient à l’une des catégories décrites en introduction mais c’est comme en sport, on ne souvient que du jour où l’on s’est blessé pas de ceux où cela s’est bien passé.
Un ami asiatique qui, peu ou prou, a vécu la même chose (Comme tant d’autres) met cela sur le compte de l’année du Dragon qui ne serait pas mais alors pas du tout favorable (De lapin, bien sûr), au contraire de celle du Serpent qui s’annoncerait riche de très intéressants potentiels.
Comment l’année 2012 a-t-elle pu concentrer autant de négatif ?
Je n’ai pas la réponse mais elle me passionnerait car autour de nous, nous n’avons vu que des soucis, des problèmes, des ruptures, des trahisons, des mensonges, des revirements avec pour certains des conséquences irréversibles.
Comme si le destin avait décidé de concentrer en 12 mois la quantité de saletés normalement allouée à une décade.
Cependant, ce genre de conjonctions «Perfect Storm» a un avantage extraordinaire que Nietzsche a résumé avec sa phrase culte : «Ce qui ne me tue pas me rend plus fort» ; pour tous les survivants de 2012, elle a vraiment pris un relief particulier.
Je conclus ce cri du cœur par une adresse à tous les «scums» croisés depuis le début de cette année (Du côté de Montpellier, d’Orbe, de Paris ou d’ailleurs), qu’ils profitent de leurs souvenirs et de leurs «exploits» passés parce que leur temps est terminé et que la lumière est revenue sur la Terre des hommes.
«Il y a deux formes de destin : un destin vertical et un destin horizontal»
Amin Maalouf
J’ai choisi de rester debout, bonne journée à tous
[…] C’est devenu une tradition et je vais la respecter pour enfin tourner la page de cette horrible année 2012 à laquelle j’avais déjà fait un sort dans une chronique récente. […]
[…] juste envie de me réjouir de constater à quel point Friedrich Nietzsche était pertinent en affirmant que « ce qui ne nous tue pas nous rend plus […]