Lettre ouverte au Président François Hollande
Interpellée par «l’affaire Leonarda», l’ONG CyberDodo Global, qui a pour mission la diffusion d’un message de respect et de préservation pour les Droits de l’Enfant et l’Environnement, envoie cette lettre ouverte au Président de la République Française pour l’informer sur la Convention Internationale des Droits de l’Enfant des Nations Unies.
Monsieur le Président,
L’émotion qui a entouré «l’affaire Leonarda», selon l’appellation qui lui a été donnée par les médias, nous motive à porter à votre connaissance l’existence de notre initiative humanitaire «CyberDodo, le Défenseur de la Vie» dédiée à la Convention Internationale des Droits de l’Enfant des Nations Unies ainsi qu’aux principaux enjeux environnementaux.
Afin de mieux faire connaître ce traité qui a été le plus signé de l’histoire puisque aujourd’hui seuls les États-Unis n’en sont pas partie, notre ONG «CyberDodo Global» a créé une série d’outils ludo-éducatifs, tels que des dessins animés, des jeux vidéos, des quiz, des livres, etc. ainsi qu’un site Internet, en libre accès, déjà disponible en français, anglais, espagnol et arabe.
Ce développement, initié en 1996, a été mené en partenariat avec le Haut Commissariat aux Droits de l’Homme de l’ONU, le Comité des Droits de l’Enfant des Nations Unies, Interpol, le Prince Albert II de Monaco et de nombreuses entités à travers le monde.
www.CyberDodo.org reçoit quotidiennement des visites de 150 pays et est devenu l’une des principales sources d’information sur la Convention des Droits de l’Enfant.
Notre Ambassadeur, CyberDodo, est un porte-parole universel qui bénéficie d’un positionnement rare, hors de toute considération de race, de niveau social, de nationalité, de religion, de politique ou de genre.
Pour revenir à l’actualité récente, la Convention Internationale des Droits de l’Enfant indique notamment dans son article 9 :
Article – 9 – L’enfant a le droit de vivre avec ses parents à moins qu’il soit jugé que c’est incompatible avec son intérêt supérieur. Dans ce cas, il a le droit de maintenir des relations avec eux, ou l’un d’entre aux s’il en est séparé. L’état a des obligations s’il est responsable de la séparation.
Ce que nous illustrons avec un dessin animé «CyberDodo défend le Droit de l’enfant de vivre avec ses parents (2-9)», un jeu vidéo, un dossier et un quiz.
Il y a bien entendu beaucoup d’autres articles de la Convention qui pourraient être concernés par «l’affaire Leonarda», les 2’000 médias déjà en ligne sur www.CyberDodo.org sont à votre disposition et à celle de vos équipes pour, le cas échéant, plus d’information.
Nous vous enverrons également par poste notre série de livres «Edupack» qui permettent de découvrir la Convention de manière plaisante puisqu’ils sont un mélange de bandes dessinées et de jeux, ceci dans le cadre scolaire ou privé. Signalons qu’ils servent actuellement de base pour un concours d’écriture qui implique 22 pays et bénéficie du soutien du Président Abdou Diouf et de l’Organisation Internationale de la Francophonie.
Enfin, nous joignons à ce courrier un exemplaire de notre poster sur la Convention qui la résume et sert de base à des cérémonies de signatures que les enfants adorent (Et dont le but est bien entendu de les informer sur leurs Droits) et dont vous avez des exemples en vidéo sur notre site.
Nous espérons avoir l’honneur de vous présenter plus complètement notre outil global de communication dédié à la Défense de la Vie, ceci avec l’ambition qu’il soit utilisé et diffusé par votre administration (Notamment l’Éducation Nationale) et vous remercions d’ores et déjà pour l’intérêt que vous nous manifesterez.
Manuel M. Martin
CyberDodo Global
Président
www.CyberDodo.org est visité chaque jour par une moyenne de 150 pays et a été notamment développé en partenariat avec le Haut Commissariat aux Droits de l’Homme de l’ONU, Interpol, le Prince Albert II de Monaco ainsi que d’autres entités impliquées dans la défense des droits fondamentaux à travers le monde.
Vous avez 100% raison, que nos responsables politiques commencent par respecter les conventions signées avant de légiférer sur tout et n’importe quoi. J’espère que vous recevrez une réponse mais je doute!