Le K Kahn sent le…
Il n’y a pas eu de chronique hier car même Kafka n’eut rien compris à cette histoire plus hermétique que la Kabbale. Peut-être que Kant eut été capable d’expliquer les causes du krach qui a laissé le kamikaze Kahn knocked out ?
Le kick est rude et les képis l’entourent, il ne devrait pas pouvoir s’échapper. Un garde, assurément karatéka, le collera à toute heure avec sa kalachnikov et que ce soit en kayak, en kart ou sur le dos d’un kangourou, je ne parierais pas un kopeck sur son évasion, même en kimono.
Les kiosques vont se délecter de son karma, du firmament à la prison, rien sous son kilt, et des kyrielles d’articles au kilomètre, couleur ketchup.
Son départ au goût de kérosène ne mérite pas un kleenex, au contraire du drame de la kidnappée présumée.
Un coup de klaxon réveille cette kermesse finalement kitsch, ce puissant au kiki potentiellement kleptomane qui se prend pour le King et vit ses émotions dans son kaléidoscope perso me fatigue, en attendant de peut-être me dégoûter.
Vite un massage chez le kiné, décidément le K Kahn sent le….