Partir…
Lorsque la pression est trop forte, les journées de travail trop longues ou la fatigue trop présente, j’ai une échappatoire ondulante.
Elle se situe en face du lieu où je passe beaucoup d’heures avec mon ami CyberDodo à diffuser son message de respect et de préservation (Je vous donnerai bientôt des nouvelles de son réjouissant développement).
Ces échappatoires changent souvent de forme et de taille mais elles ont toutes un point commun, elles flottent !
Voici celle de ce matin, comme irradiée par le soleil qui se lève sur la Méditerranée.
J’aime cette idée de nager jusqu’à un bateau, de hisser les voiles (Pas de moteur s-v-p) et de larguer les amarres pour un ailleurs qui, s’il n’était pas inconnu, perdrait beaucoup de son charme.
Cela ressemble à un vieux cliché, pourtant… la majorité d’entre nous l’a certainement au fond de son cœur, cela doit correspondre à quelque chose qui est plus qu’une envie, une sorte de besoin voire de nécessité vitale.
Serait-ce un remugle du déluge et de l’arche salvatrice ? A rapprocher des saillies du genre : « Je coule sous le travail… »
Je ne me plains pas, la journée promet d’être éclaboussée de soleil et de chaleur avec une mer magnifique, c’est que je vous souhaite aussi. Et, si vous n’avez pas de mer à vos côtés, fermez les yeux, elle est là, un bateau ondule tranquillement à sa surface, n’attendant que vous pour…
P.S: En parlant de naufrage, jetez un œil à la section « Vidéos » et plaignez quelqu’un qui est vraiment « à la rue ».